Céline, Martin et leurs 2 filles, mariage à Bonnefamille (38) :

Céline voulait un mariage éco-responsable. Elle a choisi des prestataires situés proches de chez elle. Cette envie s’est également appliqué à la création de la robe de mariée, notamment dans le choix des matières avec des tissus 100% français.


Témoignage de Céline :

« C’est le bouche à oreille qui m’a menée vers Carole. Une amie m’a dit qu’elle avait rencontré une couturière talentueuse sur un marché de l’artisanat de la région.

Lorsque j’ai rencontré Carole pour la première fois, je n’étais pas encore totalement décidée à me lancer dans une robe sur mesure. Les modèles que j’avais essayés dans le commerce ne me correspondaient jamais totalement. Aussi, rapidement convaincue par le professionnalisme de Carole qui m’a montré quelques-unes de ses créations, et séduite par l’idée de porter un modèle unique, j’ai décidé de me lancer.

Ma robe est véritablement le fruit d’une production commune. Carole a su écouter quelles étaient mes attentes, et y ajouter ses conseils avisés. Je voulais une robe assez simple, composée de soie et de dentelle. Nous avons ensemble peaufiné le patron, puis adapté la robe et les accessoires (boléro, voile, peigne) au fur et à mesure des essayages, pour arriver à un résultat totalement personnalisé.

Afin de créer une harmonie dans nos tenues, nous avons aussi confié à Carole la réalisation du gilet et de la lavallière de mon mari, ainsi que la robe de ma fille (qui ressemblait à une petite princesse) et le nœud papillon de mon fils. Constamment à l’écoute, et avec beaucoup de patience, Carole a su tenir compte de toutes mes observations, ce qui m’a beaucoup rassurée tout au long du processus.

Le dernier essayage était pour moi un grand moment de joie. Je me suis sentie tout de suite à l’aise, et belle, dans cette robe, qui me correspondait totalement. Ma robe est vraiment magnifique, les détails sont soignés et le bustier est parfaitement ajusté à ma morphologie. Comme je le disais encore récemment à une amie, J’AIME MA ROBE. D’ailleurs, je la ressors parfois de sa housse pour la contempler… »